Cygne tuberculé
Cygnus olor (Gmelin, 1789)
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- 167 observations
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1
commune -
19
observateurs -
Première observation
1990 -
Dernière observation
2022
Anonyme (centre D'hébergement Et D'etudes Sur La Nature Et L'environnement)
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Anonyme (inconnu)
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Biotope
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Catmaove (inconnu)
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Centre D'hébergement Et D'etudes Sur La Nature Et L'environnement
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Commune Du Havre
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Demarest Thierry (commune Du Havre)
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Gonm
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Gourvennec Anthony (commune Du Havre)
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Haffner Patrick
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Ligue Pour La Protection Des Oiseaux Normandie
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Maison De L'estuaire
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Observatoire Avifaune
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Obsr177203 (inconnu)
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Obsr450604 (inconnu)
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Obsr690775 (inconnu)
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Obsr940512 (inconnu)
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Obsr96302 (inconnu)
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Rb1993 (inconnu)
Informations espèce
Longueur 145-160 cm, envergure 208-238 cm, poids 7-16 kg.
Les oiseaux d’Europe de l’Ouest, introduits et domestiqués à l’origine, sont largement conditionnés à la présence humaine et dépendent fréquemment d’habitats artificiels et de nourrissage. Ils préfèrent les rivières au cours régulé, les canaux, les plans d’eau ornementaux ou de carrières, les réservoirs… Plus à l’est, l’espèce évite l’homme et s’installe préférentiellement sur les lacs pourvus de hauts fonds garnis de végétation aquatique.
Le Cygne se nourrit surtout de végétaux aquatiques qu’il obtient en plongeant la tête jusqu’à 1 m de profondeur. Il mange aussi des graines et des plantes émergentes à la surface, ou des graminées qu’il broute à terre. Les quelques animaux consommés régulièrement incluent des amphibiens et leurs larves, des mollusques, vers et insectes.
Les couples sont territoriaux durant la saison de reproduction, voire au-delà, tandis que les non-nicheurs sont grégaires toute l’année et peuvent constituer des groupes de plusieurs dizaines d’individus. Si la nidification n’a pas été menée à son terme, les couples de Cygnes quittent souvent leur territoire avant la mue des ailes, qui les empêchera de voler, pour rejoindre les sites traditionnels de mue. La monogamie et la fidélité sont la norme, mâle et femelle restant en couple après la saison de nidification. La formation du couple est longue. Elle débute parmi les juvéniles dans les groupes hivernaux, puis les parades augmentent jusqu’au 2e été, âge où une première reproduction est possible. La plupart s’associent à leur partenaire mais ne pondent que la saison suivante, à l’âge de 3 ou 4 ans (les femelles étant un peu plus précoces). Le territoire est tenu de février à octobre, sur une superficie qui dépend de la configuration du site. Une minorité nichent en petite colonie et ne défendent que le site de nid. Les adultes et particulièrement les mâles sont très agressifs.
Le nid est un monceau de joncs, roseaux, etc., de 1 à 2 m de diamètre à la base, voire jusqu’à 4 m quand il est fait dans l’eau. La ponte de 5-8 œufs est déposée à partir de la mi-mars. L’incubation dure 35-41 jours et les jeunes sont volants à l’âge de 120-150 jours. Ceux-ci sont souvent transportés par la femelle, rarement par le mâle, durant leurs 10 premiers jours.
Les oiseaux d’Europe de l’Ouest, introduits et domestiqués à l’origine, sont largement conditionnés à la présence humaine et dépendent fréquemment d’habitats artificiels et de nourrissage. Ils préfèrent les rivières au cours régulé, les canaux, les plans d’eau ornementaux ou de carrières, les réservoirs… Plus à l’est, l’espèce évite l’homme et s’installe préférentiellement sur les lacs pourvus de hauts fonds garnis de végétation aquatique.
Le Cygne se nourrit surtout de végétaux aquatiques qu’il obtient en plongeant la tête jusqu’à 1 m de profondeur. Il mange aussi des graines et des plantes émergentes à la surface, ou des graminées qu’il broute à terre. Les quelques animaux consommés régulièrement incluent des amphibiens et leurs larves, des mollusques, vers et insectes.
Les couples sont territoriaux durant la saison de reproduction, voire au-delà, tandis que les non-nicheurs sont grégaires toute l’année et peuvent constituer des groupes de plusieurs dizaines d’individus. Si la nidification n’a pas été menée à son terme, les couples de Cygnes quittent souvent leur territoire avant la mue des ailes, qui les empêchera de voler, pour rejoindre les sites traditionnels de mue. La monogamie et la fidélité sont la norme, mâle et femelle restant en couple après la saison de nidification. La formation du couple est longue. Elle débute parmi les juvéniles dans les groupes hivernaux, puis les parades augmentent jusqu’au 2e été, âge où une première reproduction est possible. La plupart s’associent à leur partenaire mais ne pondent que la saison suivante, à l’âge de 3 ou 4 ans (les femelles étant un peu plus précoces). Le territoire est tenu de février à octobre, sur une superficie qui dépend de la configuration du site. Une minorité nichent en petite colonie et ne défendent que le site de nid. Les adultes et particulièrement les mâles sont très agressifs.
Le nid est un monceau de joncs, roseaux, etc., de 1 à 2 m de diamètre à la base, voire jusqu’à 4 m quand il est fait dans l’eau. La ponte de 5-8 œufs est déposée à partir de la mi-mars. L’incubation dure 35-41 jours et les jeunes sont volants à l’âge de 120-150 jours. Ceux-ci sont souvent transportés par la femelle, rarement par le mâle, durant leurs 10 premiers jours.
Non renseigné pour le moment
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Anas olor Gmelin, 1789
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