Busard des roseaux
Circus aeruginosus (Linnaeus, 1758)
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- 6 observations
-
1
commune -
5
observateurs -
Première observation
1987 -
Dernière observation
2018
Anonyme (centre D'hébergement Et D'etudes Sur La Nature Et L'environnement)
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Biotope
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Commune Du Havre
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Haffner Patrick
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Maison De L'estuaire
Informations espèce
Longueur 48-56 cm, envergure 115-130 cm, poids 400-800 g.
C’est une espèce de plaine qui évite les zones forestières et montagneuses. L’habitat préférentiel est constitué d’eaux peu profondes envahies de grandes roselières ou typhaies. D’autres milieux tels que les tourbières, les champs irrigués, les prairies et cultures peuvent être utilisés, notamment comme terrains de chasse, lorsque les roselières sont insuffisantes.
L’espèce se nourrit surtout d’animaux terrestres et aquatiques tels que les petits rongeurs et oiseaux. Les cadavres et les animaux malades sont également consommés. La taille et la diversité des espèces dépendent des circonstances locales, la proie la plus facile étant préférée. La chasse se fait à faible hauteur (2 à 6 m), en utilisant la végétation au sol et les accidents de terrain pour surprendre les proies. Les captures sur l’eau sont rares.
Le Busard des roseaux est normalement un chasseur solitaire. Il peut migrer et dormir au sol en groupe. Le mâle est parfois bigame et peut même s’accoupler avec une 3e femelle. Toutefois, cette dernière est habituellement délaissée dès qu’il doit consacrer son temps aux premières nichées écloses. La reproduction est solitaire à semi-coloniale, le couple acceptant le voisinage d’autres nids à quelques dizaines de mètres. Le territoire du site de nid est faiblement marqué, seuls les abords immédiats étant défendus contre le passage d’individus de la même espèce. Lors des belles journées, le mâle cercle ou vole acrobatiquement à grande hauteur. Les parades en compagnie de la femelle, qui incluent de fausses attaques, ont lieu plus bas et à faible distance du site de nid. Le mâle nourrit la femelle dès le début de printemps et elle dépend entièrement de son approvisionnement pendant l’incubation et les premiers jours d’élevage des jeunes.
Le nid est un entassement important d’herbes, de roseaux et de rameaux qui atteint 50 à 80 cm de diamètre pour 25-30 cm de hauteur (voire plus s’il est situé au-dessus de l’eau). La femelle seule le construit, le mâle édifiant de faux nids et des plates-formes. La ponte de 3 à 8 œufs (max. 12) débute à la mi-avril. L’incubation dure de 31 à 38 jours par œuf, commençant avec le 1er, parfois le 2e ou le 3e. L’éclosion est asynchrone, sauf pour les premiers œufs qui peuvent éclore le même jour. Les jeunes explorent les environs du nid à l’âge de 1 mois et s’envolent une semaine plus tard.
C’est une espèce de plaine qui évite les zones forestières et montagneuses. L’habitat préférentiel est constitué d’eaux peu profondes envahies de grandes roselières ou typhaies. D’autres milieux tels que les tourbières, les champs irrigués, les prairies et cultures peuvent être utilisés, notamment comme terrains de chasse, lorsque les roselières sont insuffisantes.
L’espèce se nourrit surtout d’animaux terrestres et aquatiques tels que les petits rongeurs et oiseaux. Les cadavres et les animaux malades sont également consommés. La taille et la diversité des espèces dépendent des circonstances locales, la proie la plus facile étant préférée. La chasse se fait à faible hauteur (2 à 6 m), en utilisant la végétation au sol et les accidents de terrain pour surprendre les proies. Les captures sur l’eau sont rares.
Le Busard des roseaux est normalement un chasseur solitaire. Il peut migrer et dormir au sol en groupe. Le mâle est parfois bigame et peut même s’accoupler avec une 3e femelle. Toutefois, cette dernière est habituellement délaissée dès qu’il doit consacrer son temps aux premières nichées écloses. La reproduction est solitaire à semi-coloniale, le couple acceptant le voisinage d’autres nids à quelques dizaines de mètres. Le territoire du site de nid est faiblement marqué, seuls les abords immédiats étant défendus contre le passage d’individus de la même espèce. Lors des belles journées, le mâle cercle ou vole acrobatiquement à grande hauteur. Les parades en compagnie de la femelle, qui incluent de fausses attaques, ont lieu plus bas et à faible distance du site de nid. Le mâle nourrit la femelle dès le début de printemps et elle dépend entièrement de son approvisionnement pendant l’incubation et les premiers jours d’élevage des jeunes.
Le nid est un entassement important d’herbes, de roseaux et de rameaux qui atteint 50 à 80 cm de diamètre pour 25-30 cm de hauteur (voire plus s’il est situé au-dessus de l’eau). La femelle seule le construit, le mâle édifiant de faux nids et des plates-formes. La ponte de 3 à 8 œufs (max. 12) débute à la mi-avril. L’incubation dure de 31 à 38 jours par œuf, commençant avec le 1er, parfois le 2e ou le 3e. L’éclosion est asynchrone, sauf pour les premiers œufs qui peuvent éclore le même jour. Les jeunes explorent les environs du nid à l’âge de 1 mois et s’envolent une semaine plus tard.
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Falco aeruginosus Linnaeus, 1758