Hirondelle rustique
Hirundo rustica Linnaeus, 1758
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- 54 observations
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1
commune -
15
observateurs -
Première observation
1988 -
Dernière observation
2022
Anonyme (centre D'hébergement Et D'etudes Sur La Nature Et L'environnement)
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Anonyme (inconnu)
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Biotope
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Commune Du Havre
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Demarest Thierry (commune Du Havre)
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Gonm
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Gourvennec Anthony (commune Du Havre)
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Ligue Pour La Protection Des Oiseaux Normandie
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Obsr1020468 (inconnu)
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Obsr105054 (inconnu)
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Obsr224513 (inconnu)
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Obsr676137 (inconnu)
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Obsr690775 (inconnu)
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Obsr897302 (inconnu)
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Obsr940512 (inconnu)
Informations espèce
Longueur 17-19 cm, envergure 32-34,5 cm, poids 16-22 g.
Elle dépend pour sa survie d’un accès permanent à de petits insectes volants, qu’elle chasse dans les couches basses de l’air. Elle évite normalement les forêts denses et les zones très urbanisées, préférant les villages et surtout les fermes. Elle s’installe dans les étables, les écuries, les porcheries… où elle trouve chaleur et sites de nid, avec de l’eau à proximité.
L’Hirondelle de cheminée est insectivore et se nourrit essentiellement de diptères pendant la saison de reproduction. Ses proies tendent à être plus grosses que celles de l’Hirondelle de fenêtre, qui capture beaucoup de pucerons. Sauf dans les cas particuliers d’abondance de proies non volantes ou de conditions météorologiques exécrables, la chasse au vol est systématique.
L’espèce est très grégaire en dehors de la saison de reproduction, se regroupant en dortoirs comprenant parfois des milliers d’oiseaux, mais niche souvent isolément. Elle est monogame (rares cas de polygynie). La fidélité à vie est assez fréquente. Les deux partenaires défendent le territoire autour du nid. C’est le mâle qui choisit l’emplacement et il arrive qu’il construise le nid avant le retour de la femelle. Les mâles qui ont les plus longs filets sur la queue sont les plus attirants ; ils s’apparient les premiers et se reproduisent avec le plus de succès.
Le nid est construit sur une saillie ou une poutre. C’est une coupe ou une demi-coupe d’une dizaine de centimètres de profondeur, faite de boue le plus souvent mélangée à des éléments végétaux, puis recouverte de plumes. La ponte de 4 ou 5 œufs (extrêmes : 2 à 7) est déposée à partir de mi-avril. L’incubation dure 11 à 19 jours et les jeunes s’envolent à l’âge de 20 jours environ. Il y a souvent 2 couvées annuelles.
Elle dépend pour sa survie d’un accès permanent à de petits insectes volants, qu’elle chasse dans les couches basses de l’air. Elle évite normalement les forêts denses et les zones très urbanisées, préférant les villages et surtout les fermes. Elle s’installe dans les étables, les écuries, les porcheries… où elle trouve chaleur et sites de nid, avec de l’eau à proximité.
L’Hirondelle de cheminée est insectivore et se nourrit essentiellement de diptères pendant la saison de reproduction. Ses proies tendent à être plus grosses que celles de l’Hirondelle de fenêtre, qui capture beaucoup de pucerons. Sauf dans les cas particuliers d’abondance de proies non volantes ou de conditions météorologiques exécrables, la chasse au vol est systématique.
L’espèce est très grégaire en dehors de la saison de reproduction, se regroupant en dortoirs comprenant parfois des milliers d’oiseaux, mais niche souvent isolément. Elle est monogame (rares cas de polygynie). La fidélité à vie est assez fréquente. Les deux partenaires défendent le territoire autour du nid. C’est le mâle qui choisit l’emplacement et il arrive qu’il construise le nid avant le retour de la femelle. Les mâles qui ont les plus longs filets sur la queue sont les plus attirants ; ils s’apparient les premiers et se reproduisent avec le plus de succès.
Le nid est construit sur une saillie ou une poutre. C’est une coupe ou une demi-coupe d’une dizaine de centimètres de profondeur, faite de boue le plus souvent mélangée à des éléments végétaux, puis recouverte de plumes. La ponte de 4 ou 5 œufs (extrêmes : 2 à 7) est déposée à partir de mi-avril. L’incubation dure 11 à 19 jours et les jeunes s’envolent à l’âge de 20 jours environ. Il y a souvent 2 couvées annuelles.
Non renseigné pour le moment
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Chelidon rustica (Linnaeus, 1758)
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