Courlis cendré

Numenius arquata (Linnaeus, 1758)

Classe : Aves Ordre : Charadriiformes Famille : Scolopacidae Genre : Numenius
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  • Première observation
    1985

  • Dernière observation
    2019
Anonyme (centre D'hébergement Et D'etudes Sur La Nature Et L'environnement) - Anonyme (inconnu) - Biotope - Centre D'hébergement Et D'etudes Sur La Nature Et L'environnement - Commune Du Havre - Gonm - Haffner Patrick - Inconnu (crbpo) - Maison De L'estuaire - Observatoire Avifaune

Informations espèce

Taille/poids :

Longueur totale : 50 à 60 cm. Poids : 575 à 950 g.

Diagnose :

Le Courlis cendré est le plus grand limicole de l’Ouest-Paléarctique avec une envergure de 80 à 100 cm et un long bec incurvé de 10 à 15 cm. En vol, une forme en V blanc est particulièrement visible sur le bas du dos.

Détermination :

Moyennement difficile.

Espèces proches :

Si le Courlis cendré présente des similitudes avec le Courlis corlieu, il est sensiblement plus grand que celui-ci. La double raie, pratiquement en couronne, qui orne la tête du Courlis corlieu constitue le critère décisif lorsqu’une incertitude pèse sur la détermination.

Période d’observation :

Toute l’année.

Biologie-éthologie :

Le régime du courlis cendré en période de reproduction consiste en insectes, larves, vers et petits mollusques capturés sur la végétation, à la surface du sol ou à quelques centimètres de profondeur. Différents végétaux et fruits complètent l’alimentation. Sur le littoral, hors période de nidification, le Courlis cendré est un hôte des vasières où ses proies sont abondantes : vers, bivalves, crabes.

Biogéographie et écologie :

La sous-espèce nominale se reproduit de l’ouest de l’Europe à la Sibérie occidentale ; à partir du sud-est de l’Europe et de la Sibérie, elle entre en contact progressivement avec la sous-espèce d’Asie centrale. En période de nidification, notre population nicheuse est essentiellement prairiale, à l’exception de la population atlantique, inféodée aux landes et tourbières. En hiver, les oiseaux exploitent préférentiellement les baies et estuaires. Ils peuvent aussi s’alimenter sur le haut estran ou dans des zones de cultures ou de pâtures.

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Scolopax arcuata Linnaeus, 1758 | Scolopax arquata Linnaeus, 1758 | Tringa arquata (Linnaeus, 1758)

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